Depuis les forêts, 2018

Guillaume Jezy

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Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Forêt», 2018, bois, carton, pigment, sable, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «DLF, Panorama ; DLF, Panorama ; DLF, Terre noire», 2018, Galerie Michel Journiac, Paris, vue d'exposition, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Terre noire», 2018, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Guillaume Jezy
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «DLF, Monument ; DLF, Terre noire», 2018, Galerie Michel Journiac, Paris, vue d'exposition, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «DLF, Panorama ; DLF, Terre noire ; DLF, Monument», 2018, Galerie Michel Journiac, Paris, vue d'exposition, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Monument», 2018, bois, verre, aluminium, miroirs, éclairage, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Monument», 2018, bois, verre, aluminium, miroirs, éclairage, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Monument», 2018, bois, verre, aluminium, miroirs, éclairage, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Panorama», 2018, bois, carton, plastique, miroirs, terre, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Panorama», 2018, bois, carton, plastique, miroirs, terre, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Panorama», 2018, bois, carton, plastique, miroirs, terre, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Guillaume Jezy
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «DLF, Marches ; DLF, Panorama», 2018, Galerie Michel Journiac, Paris, vue d'exposition, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Marches», 2018, bois, balsa, verre synthétique, sable, aluminium, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Marches», 2018, bois, balsa, verre synthétique, sable, aluminium, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Marches», 2018, bois, balsa, verre synthétique, sable, aluminium, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, After earth», 2018, bois, verre synthétique, sable, billes en verre, acier, néons, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Marie Le Corre
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, After earth», 2018, bois, verre synthétique, sable, billes en verre, acier, néons, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Jérémy Knez
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, After earth», 2018, bois, verre synthétique, sable, billes en verre, acier, néons, Galerie Michel Journiac, Paris, photographie : Guillaume Jezy

Depuis les forêts, 2018

galerie Michel Journiac Paris exposition personnelle

Jezy Knez (avec Jérémy Knez)

 

Pour l’exposition Depuis les forêts, Jezy Knez morcellent l’espace de la galerie Michel Journiac avec des univers sur table qui empruntent aux plans-reliefs leurs caractéristiques où des états formels à la limite de la rupture et de l’effondrement se succèdent. Puisant dans le vocabulaire des contestations politiques et s’attachant à des notions qu’ils relient à la science-fiction et aux récits d’anticipation, les formes qu’ils composent cristallisent des fictions ouvertes laissant place à un spectacle d’affrontements modélisés de différentes natures et origines supposées que les dessins de la série ZONE viennent alimenter. Ils les envisagent comme des éléments permettant de porter un regard omniscient sur des situations créées en tant que systèmes organisés. Troublant les échelles entre objet, sculpture, architecture et environnement, ils élaborent des mondes aux paysages minimalisés, invitant à s’y projeter. De la mystérieuse terre noire des archéologues, à une formulation des mutations de la nature convenue par l’homme ou dans un réflexe d’autodéfense pouvant bouleverser l’équilibre environnant, différents systèmes autonomes s’additionnent jusqu’à créer un scénario d’ensemble fragmenté qui invite à anticiper un nouvel ordre encore inconnu régi par des forces déjà en présence.