Décapités

Thierry Froger

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Thierry Froger, «Décapités», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Décapités», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Décapités», photographie : droits réservés
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Décapités

” Le cinéma produit des fantômes. En cela il réveille les mouvements de l’enfance qui les craint et les demande à la fois. L’hôte se présentait comme la projection fantomatique d’un corps dont la tête imperceptiblement se déplaçait du cou, évoquant une décollation improbable et marquant le début d’un travail autour de la décapitation à travers la Révolution française, la figure de Méduse et la fragmentation des corps au cinéma. Dans ces pièces (Les décapités, ça ira,…), l’obscène et le risible s’affrontent brutalement. ”

Pierre Giquel