La mécanique céleste 3.0, 2016

Marie-Johanna Cornut

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Marie-Johanna Cornut, «La mécanique céleste 3.0», 2016, photographie : droits réservés
Marie-Johanna Cornut, «La mécanique céleste 3.0», 2016, photographie : droits réservés
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La mécanique céleste 3.0, 2016

Au Consortium, La Mécanique Céleste 3.0 comme un point d’orgue à La lune des lapins, Marie-Johanna Cornut présente en collaboration avec Cécilia Philippe, Neige marine, une installation réalisée ? ainsi qu’Anthrène et Attagène, deux poufs font face à un vaste rideau. (définition Anthrène et Attagène Parasite qui attaquent le textile) L’étoffe noire est constellée de larmes blanches, violettes et dorées. C’est la voie lactée qui s’offre à notre regard. Au contraire, la toile des poufs rappelle la représentation pixellisée des ondes. Si pour Pierrot, la traversée du rideau dans Rabbit’s moon signe la mort, l’échec de la satisfaction du désir, la vie impossible après la connaissance, dans Neige marine, au-delà du rideau c’est le mur, sans mystère ni ambiguïté.

Florence Andoka, septembre 2016