Parle leur d’entrelacs, de l’échelle de Scoville et de Calathea, 2016

Marie-Johanna Cornut

1/5
Marie-Johanna Cornut, «Parle leur d’entrelacs, de l’échelle de Scoville et de Calathea», 2016, photographie : droits réservés
Marie-Johanna Cornut, «Parle leur d’entrelacs, de l’échelle de Scoville et de Calathea», 2016, photographie : droits réservés
Marie-Johanna Cornut, «Parle leur d’entrelacs, de l’échelle de Scoville et de Calathea», 2016, photographie : droits réservés
Marie-Johanna Cornut, «Parle leur d’entrelacs, de l’échelle de Scoville et de Calathea», 2016, photographie : droits réservés
Marie-Johanna Cornut, «Parle leur d’entrelacs, de l’échelle de Scoville et de Calathea», 2016, photographie : droits réservés

Parle leur d’entrelacs, de l’échelle de Scoville et de Calathea, 2016

Galerie Thaddaeus Ropac Paris-Pantin Jeune création 66 ème édition

La pratique de Marie-Johanna Cornut trouve son origine dans le dessin pour ensuite se développer en sculpture, installation ou performance. Les questions architecturales et performatives sont au centre de son travail. Ses installations se caractérisent par des constructions spatiales hors du temps, elles sont les traces d’un événement qui s’est accompli et dont témoignent des « objets-images”.

Le travail de Marie-Johanna Cornut peut être caractérisé par une certaine attitude ironique et une volonté de parodier les dispositifs festifs, leur préparation et leur réalisation. Que reste-t-il après leur activation ? Un univers absurde de formes abstraites, qui se construisent par répétitions géométriques et modulaires. Les objets, qui ont désormais perdu leurs fonctions, deviennent les instruments de narrations théâtrales en suspens.

Anna Battiston