Protocoles, 1997-2009

Jacques Alexandre Gillois

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Jacques Alexandre Gillois, «Protocoles», 1997-2009, photographie : droits réservés
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Protocoles, 1997-2009

Le jeu consiste à installer un dispositif de production/construction dans le lieu d’intervention, salle d’exposition ou autre, avec un programme d’action prédéfini, puis de lancer le processus pour voir ce qui va se passer. Un protocole expérimental précis sert de colonne vertébrale, de programme, à l’expérience, en même temps que de guide à l’opérateur qui la conduit. Il s’agit généralement de l’artiste lui même, mais cela n’a pas d’importance en soi, n’importe qui d’assez déterminé peut avec un égal bonheur tenter l’expérience.
L’énergie, la force vive du processus est fournie par l’opérateur. Les expériences mettent souvent en jeu des activités répétitives (moulages en grande série, empilements sans fin, etc…), l’opérateur est ainsi conduit, par souci d’efficacité autant que de préservation, à une forme de Taylorisme empirique. Le processus ainsi alimenté s’achemine inexorablement vers son improbable conclusion, le dérisoire de l’entreprise n’ayant échappé à personne.