Ruiné, 2010

Armand Morin

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Armand Morin, «Ruiné», 2010, photographie : droits réservés
Armand Morin, «Ruiné», 2010, photographie : droits réservés
Armand Morin, «Ruiné», 2010, photographie : droits réservés
Armand Morin, «Ruiné», 2010, photographie : droits réservés
Armand Morin, «Ruiné», 2010, photographie : droits réservés
Armand Morin, «Ruiné», 2010, photographie : droits réservés

Ruiné, 2010

400 × 75 × 75 cm

Ciment, structure en bois mousse et grillage.

Inspiré par des balades dans des Folies et le livre Ruines et Paysages, salon de 1767 de Diderot, Ruiné rassemble deux styles de décors architecturaux, en vogue entre le 18ème et le 19ème siècles: le Néo-Classique et la Rocaille. Cette sculpture pose la question des symboles, idées et références que l’on respecte à une période donnée, que l’on juge réactionnaires ensuite, avant de ressurgir un jour.