La faussaire, 2025

Pauline Rouet

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Pauline Rouet, «La faussaire», 2025, photographie : Antoine Denoual
Pauline Rouet, «La faussaire», 2025, photographie : Antoine Denoual

La faussaire, 2025

présenté lors de l'exposition Peins-mi et peins-moi sont sur un tableau au Grand Huit à Bonus, Nantes

La faussaire fait suite à la vidéo de James Bazard et les enfants-peintures. Elle est une copie de la nouvelle toile que réalisent les enfants sur le carton de James, qui devient sa nouvelle identité. C’est l’idée d’une transformation : au départ la toile de James Bazard était une peinture à l’huile tendue sur châssis. Elle devient costume pour le personnage, puis redevient ici peinture classique sur toile (cette fois agrémentée de pieds, bras et mains articulées, qui montre du doigt, et bouge grâce à un petit moteur). James est un personnage qui cherche son identité sous toutes ses formes. Questionner sa picturalité est un moyen détourné pour en parler.