Home Sweet Home, 2014

Laurence Landois

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Laurence Landois, «Installation Home Sweet Home - Tribute to Macefield House», 2014, On The Way, Room 104 Gallery, Seattle- WA
Laurence Landois, «Installation Home Sweet Home - Tribute to Macefield House», 2014, On The Way, Room 104 Gallery, Seattle - WA
Laurence Landois, «Installation Home Sweet Home - Tribute to Macefield House », 2014, On The Way, Room 104 Gallery, Seattle - WA
Laurence Landois, «Installation- Home Sweet Home - Tribute to Macefield House», 2014, On The Way, Room 104 Gallery, Seattle - WA
Laurence Landois, «Home Sweet Home», 2015, Wonderfull.Web.World, Atelier Alain Lebras, Nantes
Laurence Landois, «Home Sweet Home», 2015, Wonderfull.Web.World, Atelier Alain Lebras, Nantes
Laurence Landois, «Home Sweet Home», 2018, Backyard, Collectif Open It, Nantes
Laurence Landois, «Home Sweet Home», 2018, Backyard, Collectif Open It, Nantes

Home Sweet Home, 2014

Room 104 Gallery Seattle -WA commissionership Laurie Leclair

Quand je me suis rendu la première fois à Seattle en 2012, j’ai été frappée par la force et l’originalité des différents types d’architectures; des bâtiments phares très modernes aux plus insolites, décomplexés appelées les Novelties. Pour mon exposition personnelle à la Room 104 Gallery programmée au printemps 2014, je souhaitais travailler à partir d’évènements survenus dans la ville. Après différentes recherches, j’ai été attirée par l’histoire d’Edith Macefield qui a fait la une des journaux en refusant de vendre sa maison à des promoteurs agressifs. Avec sa seule volonté, Edith Macefield a su conserver sa chère maison fragile en bois résistant aux attaques ravageuses du béton qui l’a encerclée.

Je suis partie de cette histoire qui m’a touchée pour élaborer deux types d’oeuvres: Une série de dessin sur papier millimétré intitulée : Way, qui ont tous pour point de départ la petite maison de Macefield. Une installation intitulée : Homme Sweet Home où la maison de Macefield devient cage d’oiseau suspendue dans les airs, fragile vulnérable.

Ces histoires de résistance sont universelles, en Chine on les appellent des Nails Houses, aux USA des Holdouts…. Elles montrent que l’attachement sentimental aux lieux est plus fort que la valeur monétaire.