Au départ, il n’y a rien qui va de soi, 2015-2016

Camille Hervouet

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Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet
Camille Hervouet, «Au départ, il n’y a rien qui va de soi», 2015-2016, photographie : Camille Hervouet

Au départ, il n’y a rien qui va de soi, 2015-2016

La Maison du Site Saint Sauveur, Rocheservière

Les artistes Camille Hervouet et Grégory Valton ont été invités pendant le temps des travaux de la Maison à Rocheservière, étendu sur une année d’avril 2015 à avril 2016, au moment de la définition de l’identité de la future résidence d’artistes. Ils ont interrogé cette période de chantier par un questionnement collectif, multipliant les rencontres et les champs d’interprétation où tout s’invente ensemble.

Grégory a filmé au long cours les artisans et entreprises au travail sur le site en plein travaux en vue d’un film poétique où le geste des travailleurs sera mis au premier plan. Camille quant à elle, a sillonné le territoire à la rencontre des habitants et usagers qui lui ont confié leur chantier intime, personnel, leurs utopies sur le chantier d’un pôle artistique près de chez eux…