Divers

Thierry Froger

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Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
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Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
Thierry Froger, «Divers», photographie : droits réservés
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Divers

 » Le travail de Thierry Froger, plus qu’à une expérience (une variation des conditions de durée des « sujets » qui permettrait d’en fixer quelques qualités), s’apparente à une quête. Il retrouve, je crois, ce grand mouvement de la pensée d’Augustin : nous ne faisons que des images parce que nous sommes de la nature des images (« et l’homme marche dans l’image »), celles-ci ne cesseront qu’avec le temps lui-même : nous sommes quelque chose de la nature du temps, de son écoulement, de son retour impossible dans notre corps.  »

Jean Louis Schefer

 » Une interprétation ouverte de ce que « donnent » les installations de Froger dans un ordre de réalité plastique, de travail formel, m’amène à dégager trois grandes lignes de cette lecture spatialisée et corporelle à laquelle est invité le visiteur : tout d’abord, une métaphore épidermique de la nature fondamentalement photographique de l’art cinématographique, ensuite l’irréductible particularisme du cinéma comme machine à fabriquer du temps, enfin la spécificité de son mécanisme comme dispositif à projeter de la lumière.  »

Mariette Bouillet