Invisibles Mondes Visibles, 2017

Juliette-Andréa Elie

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Juliette-Andréa Elie, «Invisibles Mondes Visibles», 2017, photographie : droits réservés
Juliette-Andréa Elie, «Invisibles Mondes Visibles», 2017, photographie : droits réservés
Juliette-Andréa Elie, «Invisibles Mondes Visibles», 2017, photographie : droits réservés
Juliette-Andréa Elie, «Invisibles Mondes Visibles», 2017, photographie : droits réservés
Juliette-Andréa Elie, «Invisibles Mondes Visibles», 2017, photographie : droits réservés
Juliette-Andréa Elie, «Invisibles Mondes Visibles», 2017, photographie : droits réservés
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Juliette-Andréa Elie, «Invisibles Mondes Visibles», 2017, photographie : droits réservés
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Juliette-Andréa Elie, «Invisibles Mondes Visibles», 2017, photographie : droits réservés

Invisibles Mondes Visibles, 2017

Cette série s’inscrit dans une recherche menée depuis plusieurs années sur le rapport entre l’homme et son environnement et la notion de paysage comme « milieu ».

Après un an et demi passé au Brésil, Juliette-Andréa Elie interroge l’histoire de ce territoire. Les photographies, vues de Rio de Janeiro et de São Paulo, sont découpées puis recomposées dans une forme évoquant les parures plumaires de certaines tribus amazoniennes. Une manière de rendre visible le peuple natif, grand absent des villes, qui doit lutter de plus en plus pour conserver son propre territoire, où l’environnement naturel prédomine sur l’urbain.

Les photographies sculptées deviennent des installations selon les lieux d’exposition, et la série s’accompagne d’une vidéo de 11 min, où l’artiste porte la parure photographique qui se déploie et couvre le corps au grés du vent, du matin jusqu’au soir. Elle fait progressivement disparaître le corps humain et révèle une forme animale, proche de l’aigle royale, figure totémique fondamentale chez de nombreuses tribus d’Amazonie.