L’élément du vide, 2015

Vincent Mauger

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Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.
Vincent Mauger, «L’élément du vide», 2015, photographie : V.M.

L’élément du vide, 2015

Ecole des Beaux-Arts Saint-Brieuc commissionership Judith Quentel

Le Penthièvre

Diplômé de l’école des Beaux-arts de Rennes, d’Angers et de Paris, Vincent Mauger est présent dans de nombreuses collections publiques et privées et régulièrement sollicité pour des productions dans l’espace public.

Pour la première exposition de la galerie Raymond Hains, la Ville de Saint-Brieuc permet au public de découvrir les multiples facettes de ce travail et d’en montrer la monumentalité et la complexité.

« L’élément du vide »

Vincent Mauger réalise des sculptures, des dessins et des vidéos qui se jouent des rapports d’échelle et de la question du motif. La question du paysage construit, presque topographique, est aussi très présente dans son œuvre.

Cette exposition intitulée « L’élément du vide » propose une sorte de parcours initiatique au sein de son univers. Le vide est paradoxalement un des éléments majeurs constitutif des œuvres de l’artiste. Le vide comme matière lui permet de redéfinir la question du volume, de l’espace et parfois même du paysage. Ici, la trame, la ligne et l’horizon le disputent donc au creux, au trou, au jeu et même au chaos…

Sous des apparences décoratives, les formes se meuvent alors et oscillent dans des terrains moins neutres qu’il n’y paraît.