A l’image d’un sculpteur qui taillerait dans un bloc de marbre, un bloc de plâtre est déposé dans la rivière. Au fur et à mesure du temps et sur une durée de cinq jours, l’eau s’est mise à sculpter, creusant dans le plâtre et laissant l’empreinte de ses mouvements.
Myrtille Bouvret
Les cours d’eau, 2024
Plâtre Chapelle de l’ancien hôpital général Clermont-Ferrand