Depuis les forêts (Marches, Panorama et After earth), 2019

Guillaume Jezy

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Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Marches», 2018, Contre forme, L'Atelier, Nantes, vue d'exposition avec les œuvres de Lucie Le Bouder et Eva Nielsen, photographie : Philippe Piron
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Marches», 2018, bois, balsa, verre synthétique, sable, aluminium, Contre forme, L'Atelier, Nantes, photographie : Philippe Piron
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Marches», 2018, bois, balsa, verre synthétique, sable, aluminium, Contre forme, L'Atelier, Nantes, photographie : Philippe Piron
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Marches», 2018, Contre forme, L'Atelier, Nantes, vue d'exposition avec les œuvres de Lucie Le Bouder, Eva Nielsen et Alexis Judic, photographie : Philippe Piron
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Panorama», 2018, bois, carton, plastique, miroirs, terre, Contre forme, L'Atelier, Nantes, avec l'œuvre d'Alexis Judic, photographie : Philippe Piron
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Panorama», 2018, bois, carton, plastique, miroirs, terre, Contre forme, L'Atelier, Nantes, avec l'œuvre d'Alexis Judic, photographie : Philippe Piron
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, Panorama», 2018, bois, carton, plastique, miroirs, terre, Contre forme, L'Atelier, Nantes, photographie : Philippe Piron
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, After earth», 2018, Contre forme, L'Atelier, Nantes, vue d'exposition avec l'œuvre d'Ann Veronica Janssens, photographie : Philippe Piron
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, After earth», 2018, bois, verre synthétique, sable, billes en verre, acier, néons, Contre forme, L'Atelier, Nantes, photographie : Philippe Piron
Guillaume Jezy / Jezy Knez, «Depuis les forêts, After earth», 2018, bois, verre synthétique, sable, billes en verre, acier, néons, Contre forme, L'Atelier, Nantes, photographie : Philippe Piron

Depuis les forêts (Marches, Panorama et After earth), 2019

l'Atelier Nantes présentées dans le cadre de l'exposition collective Contre forme commissariat MPVite

Jezy Knez (avec Jérémy Knez)

 

Texte de présentation de l’exposition par Romain Boulay :

L’architecture est fonctionnelle, elle abrite les corps.

Abriter l’Art, c’est faire exposition.

L’exposition Contre Forme* convoque l’architecture. Les artistes ne sont pas réunis ici pour évoquer un thème mais parce que cet art leur sert de vecteur, de pensée, de pure forme. L’architecture devient un matériau, un dispositif de langage, une urgence …

Il ne s’agit en aucun cas d’être exhaustif, mais plutôt d’interroger des singularités.

Définir nous laisserait dans l’impasse du mouvement qu’imprime la pensée.

Contre Forme tend ici à tordre l’architecture en neutralisant sa fonction première.

Se perdre de la ruine romantique aux utopies poétiques.

Déambuler de la matérialité à la figure de l’architecte.

Errer de la dystopie à la réalité brute, concrète.

Chercher son chemin dans ce qui nous habite tous.

Là où nous nous abritons …

 

*Le titre de l’exposition renvoi au terme Contreforme (ou contre-forme) qui, en typographie est l’espace intérieur blanc de certaines lettres. Cet espace est généralement fermé, mais, par extension, on appelle aussi contre forme les espaces ouverts, marquant ainsi le plein et le vide pour créer la lettre. C’est l’espace qui définit en creux la forme restée ouverte.