Le cri, l’écrit, 2007

Fabrice Hyber

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Fabrice Hyber, «Le cri, l’écrit», 2007, photographie : droits réservés
Fabrice Hyber, «Le cri, l’écrit», 2007, photographie : droits réservés
Fabrice Hyber, «Le cri, l’écrit», 2007, photographie : droits réservés
Fabrice Hyber, «Le cri, l’écrit», 2007, photographie : droits réservés
Fabrice Hyber, «Le cri, l’écrit», 2007, photographie : droits réservés
Fabrice Hyber, «Le cri, l’écrit», 2007, photographie : droits réservés
Fabrice Hyber, «Le cri, l’écrit», 2007, photographie : droits réservés
Fabrice Hyber, «Le cri, l’écrit», 2007, photographie : droits réservés

Le cri, l’écrit, 2007

bronze polychrome 3,70 m de hauteur

Oeuvre à la mémoire de la traite négrière, de l’esclavage et de l’abolition réalisée par Fabrice Hyber en 2007 et  inaugurée le 10 mai 2007 par le président de la république Jacques Chirac.

Fabrice Hyber a réalisé « Le cri, l’écrit », une sculpture en bronze polychrome de 3, 70 m de hauteur. L’oeuvre a été réalisée à l’atelier Coubertin, Domaine de Coubertin (Saint-Rémy-les- Chevreuse).

Selon les mots mêmes de Fabrice Hyber, son oeuvre constituée de trois anneaux soudés représentent un symbole : « Le cri c’est la marque de l’abolition de l’esclavage mais aussi la mise en garde contre l’esclavage moderne. Le cri est de peur, de larmes mais aussi de joie. Le cri est une métaphore de cet asservissement qui a été aboli par les textes. Le cri c’est un dessin dans l’espace ; pour le jardin devant le Sénat, il fallait un écrit ! L’abolition de l’esclavage, c’est l’anneau de chaîne ouvert, l’anneau fermé c’est que tout peut recommencer, et le piétement c’est le retour aux racines, mais c’est aussi la Terre qui est un boulet? »